Il n’y a de permanence que le changement

 

Héraclite

L’approche et l’éthique de la médiation sont les meilleurs moyens donnés à l’homme de régler ses conflits.

Le respect du Code de déontologie du médiateur

Myriam Euphrasie veille toujours, pour le bon déroulement du processus de médiation, à respecter les 5 grands principes suivants :

  • le libre consentement : elle s’assure du libre consentement des personnes à s’engager en médiation
  • la confidentialité : elle ne fait pas de rapport et ne divulgue pas les déclarations, opinions, propositions faites en médiation, condition impérative afin de garantir à chacun sa liberté de parole
  • l’indépendance : elle n’est soumise à aucune pression extérieure pour orienter son travail dans un sens ou dans un autre
  • l’impartialité : elle pratique avec une totale impartialité, qualité essentielle du médiateur permettant aux personnes de se sentir en confiance, ne porte aucun jugement sur les personnes et s’attache à leur garantir un équilibre.
    Sa longue expérience professionnelle de la médiation renforce cette posture.
  • la neutralité : elle n’a pas de projets pour les personnes, n’ayant pas de pouvoir de décision, et veille toujours à mettre à distance sa propre subjectivité.

La démarche spécifique du cabinet

Tout au long du travail réalisé lors des séances, Myriam Euphrasie privilégie tout particulièrement la mise en oeuvre de principes éthiques et humanistes de la médiation qui la font devenir un espace :

  • d’apprentissage, où les personnes apprennent d’une part, comment régler un conflit, qui fait partie de la vie, et d’autre part, à restaurer une communication
  • de changement, où se produisent des mouvements (reconnaissance mutuelle, reprise du pouvoir de décision), une évolution, une transformation de l’interaction, la survenue d’un autre point de vue, d’une nouvelle perspective , d’un autre regard sur la situation, sur soi et/ou sur l’autre
  • de création, où les personnes sont considérées comme pleinement capables de trouver leur solution propre, grâce à leur responsabilisation et à la réappropriation de leur conflit
  • de liberté d’expression, où les personnes se sentent en confiance, non jugées, écoutées
  • d’équité, où les personnes bénéficient d’un cadre de discussion où elles vont se sentir à égalité de pouvoirs par rapport aux sujets débattus.

Le lien avec le monde de la justice

Myriam Euphrasie entretient un partenariat et un travail d’équipe, qu’elle sait fructueux, avec  :

  • les avocats, formés ou non au droit collaboratif
  • et les magistrats : elle continue notamment à travailler avec les juges du Tribunal de Bobigny, qui lui confient des missions de médiation, et participe aux réunions organisées régulièrement par le pôle famille en vue du développement de la médiation.